Même si il se définit avant tout comme « homme d'image », Laurent Dombrowicz s'est fait un « nom » à travers sa plume et les articles qu'il publie depuis 1989. Il déclare d'ailleurs qu'il n'écrit que sur ce qui l'attire car « l'écriture est un acte intime et solitaire ». Même si nombre de ces articles ont été traduits en anglais et en russe (entre autres), il reste attaché à la langue française comme vecteur d'idées et de style, ne se refusant pas, de temps à autres, des digressions plus lyriques. Une fois encore, il met sa culture, notamment cinématographique, au service d'une discipline -le journalisme-, pour des portraits « habités ».